FORMATIONS PROFESSIONNELLES

Epsilon vous propose de nombreuses formations diplômantes dans 2 secteurs de métiers différents afin de faciliter votre entrée sur le marché du travail. Ces formations comprennent des matières générales ainsi que des matières professionnelles théoriques et pratiques. Vous serez amené(e) à exercer vos compétences en entreprise, en stage alterné ou en contrat de professionnalisation et apprentissage. Ci après : les moyens et méthodes pédagogiques. 

Toutes nos formations sont VALIDEES par un diplôme de l’Education Nationale, à condition de satisfaire à l’ensemble des modules. 

En cas d’échec à l’examen, les étudiants bénéficient d’un délai de Cinq ans pour valider les modules manquants.

Formations Coiffure

Formations Esthétique

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Le contrat d'apprentissage

L’école Epsilon vous propose le contrat d’apprentissage. Le contrat d’apprentissage, qui est au même titre que le contrat de professionnalisation, a pour vocation de viser un autre degré de qualification à son obtention car c’est une formation en alternance. C’est un dispositif de la formation continue né de la loi du 23 juillet 1987 relative à la formation professionnelle qui est destiné à tout jeune entre 16 et 29 ans. L’objectif est que l’apprenti obtienne un diplôme ou un titre professionnel qui lui offrira une qualification professionnelle reconnue (diplôme ou titre certifié au RNCP). Il vise l’acquisition d’une compétence professionnelle permettant d’accéder à l’emploi et répond de manière souple et rapide aux besoins des entreprises !

Quel public ?

Quelles démarches ?

L’âge minimum est de 16 ans.

Il peut être abaissé à 15 ans si le jeune a atteint cet âge entre la rentrée scolaire et le 31 décembre de l’année civile, et qu’il a terminé son année de 3ème.

L’âge maximum est de 29 ans révolus (30 ans moins 1 jour).

Le contrat d’apprentissage est un contrat écrit de droit privé.

Il peut être à durée limitée (CDL) d’une durée de 6 mois au minimum à 3 ans au maximum ou à durée indéterminée (CDI).

Lorsqu’il s’agit d’un CDI, il débute par une période d’apprentissage.

La date de début d’exécution du contrat fixe le point de départ de celui-ci.

L’organisme décide de la prise en charge financière de la formation en fonction des orientations définies par l’accord de branche. En cas d’accord, le contrat est transmis pour validation et enregistrement à la DDTEFP (Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle) dans les 30 jours.

Quel coût ?

Quels débouchés ?

La rémunération minimale à verser au bénéficiaire du contrat d’apprentissage est fixée en pourcentage du SMIC ou du minimum conventionnel :

  • Jeunes de 16 à 17 ans : 27% du SMIC (soit 477,06€)

  • Jeunes de 18 à 20 ans : 43% du SMIC (soit 759,77 €)

  • Jeunes de 21 à 25 ans : Salaire le + élevé entre 53% du Smic, soit 936,46€ et     53 % du salaire minimum conventionnel.
  • Jeunes de 26 ans et plus: 100% du SMIC, (soit 1 766,92€) et le salaire minimum conventionnel correspondant à l’emploi occupé pendant le contrat d’apprentissage

Durant tout la durée de son contrat, le jeune est considéré comme un salarié de l’entreprise et de ce fait il bénéficie des même droits (rémunération, convention collective, durée du travail, du règlement intérieur).

Toutefois, le salarié est exclu des effectifs de l’entreprise pendant toute la durée de l’action de professionnalisation, sauf pour la tarification de la cotisation accidents du travail.

Selon le cursus choisi, le contrat d’apprentissage peut déboucher sur une qualification professionnelle :

  • Inscrite au Répertoire national des certifications professionnelles (www.cncp.gouv.fr),

  • Figurant sur une liste établie par la commission paritaire nationale de l’emploi d’une branche professionnelle,

  • Reconnue dans les classifications d’une convention collective nationale de branche.

Le contrat d’apprentissage est parfois utilisé pour préparer une formation diplômante (Bac pro, BTS…). Cette pratique a été rendue possible grâce à l’inscription de ces diplômes au RNCP. Mais elle ne correspond pas à l’objectif premier du dispositif, à savoir offrir une compétence professionnelle par une formation courte.

Le maitre d'apprentissage ?

L’arrivée d’un alternant dans l’entreprise nécessite le choix par l’employeur d’un tuteur ou d’un maître d’apprentissage volontaire pour l’accompagner dans sa formation au sein de l’entreprise.

Le tuteur ou le maître d’apprentissage donne sa cohérence à la formation de l’alternant entre les enseignements théoriques et la pratique en entreprise. Il assure également la liaison avec l’établissement de formation.

Le choix d’un maître d’apprentissage  volontaire est obligatoire.

En liaison avec le CFA, le maître d’apprentissage a pour mission de contribuer à l’acquisition par l’apprenti dans l’entreprise, des compétences correspondantes à la qualification recherchée et au titre ou diplôme préparé.

Quel contrat ?

Le contrat d’apprentissage a été conçu pour s’adapter à la diversité des besoins en compétences des entreprises. Ce dispositif peut donc être signé en CDD ou en CDI. L’action de formation se décline sur une durée de 6 à 12 mois, et peut s’étendre sur 24 mois par convention ou accord de branche, et dans le cadre de publics ou qualifications spécifiques.

Le temps de formation doit être au moins égal à 15% de la durée totale du contrat sans être inférieur à 150 heures.

Ce contrat a pour vocation l’accès direct à l’emploi. Il ne s’intègre pas dans une logique de cursus, ou de multiplication des actions de formation. Toutefois, un contrat conclu en CDD peut être renouvelé une fois dans certaines situations :

  • échec aux épreuves de validation,

  • maternité,

  • maladie,

  • arrêt de travail.

Quelles aides ?

Le contrat d’apprentissage bénéficie de plusieurs systèmes d’aides variables selon l’âge du signataire.

Depuis le 1er janvier 2008, l’embauche d’un salarié de plus de 45 ans ouvre droit à une exonération des cotisations patronales de sécurité sociale et d’allocations familiales. Pour les autres contrats, l’exonération des charges de droit commun (loi Fillon) s’applique. D’autre part, les compléments de frais annexes, de coûts pédagogiques, les rémunérations et les charges sociales sont imputables sur le budget formation pour les entreprises de 10 salariés et plus.

Le gouvernement maintient l’aide au recrutement d’un alternant en 2024 (6 000€ maximum sur 1 année de contrat).

L’AGEFIPH (Fonds pour l’insertion professionnelle des travailleurs handicapés) peut également octroyer des aides particulières pour l’embauche de travailleurs handicapés.

Quels sont les avantages de l'alternance en entreprise ?

L’école EPSILON place l’alternance au coeur de ses programmes de formation afin de permettre à ses étudiants, dans le secteur de l’esthétique et de la coiffure, d’allier la pratique à la théorie et surtout de former les professionnels de demain !

Futur(e) étudiant(e)

Si toi aussi tu es intéressé(e) par l’apprentissage, contacte rapidement l’école EPSILON de La Roche sur Yon ! Des conseillers dédiés à l’accompagnement des apprentis t’accompagneront dans ta recherche d’employeurs.  

Le contrat de professionnalisation

L’école Epsilon vous propose le contrat de professionnalisation. C’est un dispositif de la formation continue né de la loi de 2004 relative à la formation professionnelle tout au long de la vie. Il vise l’acquisition d’une compétence professionnelle permettant d’accéder à l’emploi et répond de manière souple et rapide aux besoins des entreprises ! 

Quel public ?

Quelles démarches ?

Le contrat de professionnalisation s’adresse à des jeunes âgés de 18 à 25 ans sortis du système éducatif sans qualification professionnelle ou souhaitant compléter leur formation initiale, et à des demandeurs d’emploi de plus de 26 ans.

Le contrat de professionnalisation (formulaire Cerfa 12434-01), signé par l’employeur et le bénéficiaire, est adressé dans les cinq jours suivant l’embauche à l’OPCO de référence.

L’organisme décide de la prise en charge financière de la formation en fonction des orientations définies par l’accord de branche. En cas d’accord, le contrat est transmis pour validation et enregistrement à la DDTEFP (Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle) dans les 30 jours.

Quel coût ?

Quels débouchés ?

La rémunération minimale à verser au bénéficiaire du contrat de professionnalisation est fixée en pourcentage du SMIC ou du minimum conventionnel :

  • Jeunes de moins de 21 ans : 55% du SMIC (soit 971,80€) 65% si au moins titulaire d’un baccalauréat professionnel ou équivalent

  • Jeunes de 21 à 25 ans : 70% du SMIC ( soit 1236,84€) 80% si au moins titulaire d’un baccalauréat professionnel ou équivalent. Pour les jeunes en cours de contrat, la rémunération change le premier jour du mois suivant le 21ème anniversaire.

  • Jeunes de plus de 26 ans : 100% du SMIC ( soit 1 766,92 €) ou 85 % de la rémunération minimale prévue par les dispositions conventionnelles applicables dans l’entreprise si elles sont plus favorables.

Durant tout la durée de son contrat, le jeune est considéré comme un salarié de l’entreprise et de ce fait il bénéficie des même droits (rémunération, convention collective, durée du travail, du règlement intérieur).

Toutefois, le salarié est exclu des effectifs de l’entreprise pendant toute la durée de l’action de professionnalisation, sauf pour la tarification de la cotisation accidents du travail.

D’autre part, les avantages en nature peuvent être déduits à hauteur de 75% du montant de salaire minimum applicable et la fin d’un contrat de professionnalisation signé en CDD ne donne pas lieu au versement d’une indemnité de précarité.

Selon le cursus choisi, le contrat de professionnalisation peut déboucher sur une qualification professionnelle :

  • Inscrite au Répertoire national des certifications professionnelles (www.cncp.gouv.fr),

  • Figurant sur une liste établie par la commission paritaire nationale de l’emploi d’une branche professionnelle,

  • Reconnue dans les classifications d’une convention collective nationale de branche.

Le contrat de professionnalisation est parfois utilisé pour préparer une formation diplômante (Bac pro, BTS…). Cette pratique a été rendue possible grâce à l’inscription de ces diplômes au RNCP. Mais elle ne correspond pas à l’objectif premier du dispositif, à savoir offrir une compétence professionnelle par une formation courte.

Un tuteur ?

Le tuteur n’est pas obligatoire dans le cadre d’un contrat de professionnalisation, sauf accord de branche.

Toutefois, sa présence permet d’optimiser les chances de réussite de l’action de formation grâce à un suivi régulier de l’alternant. Pour ce faire, le tuteur doit être volontaire et justifier une expérience de 2 ans au moins dans une qualification en rapport avec l’objectif de professionnalisation visé. Il peut encadrer trois alternants simultanément, deux s’il est également l’employeur. Sa formation, facultative sauf accord de branche, peut faire l’objet d’une prise en charge par l’OPCO de référence.

Un contrat ?

Le contrat de professionnalisation a été conçu pour s’adapter à la diversité des besoins en compétences des entreprises. Ce dispositif peut donc être signé en CDD ou en CDI. L’action de formation se décline sur une durée de 6 à 12 mois, et peut s’étendre sur 24 mois par convention ou accord de branche, et dans le cadre de publics ou qualifications spécifiques.

Le temps de formation doit être au moins égal à 15% de la durée totale du contrat sans être inférieur à 150 heures.

Ce contrat a pour vocation l’accès direct à l’emploi. Il ne s’intègre pas dans une logique de cursus, ou de multiplication des actions de formation. Toutefois, un contrat conclut en CDD peut être renouvelé une fois dans certaines situations :

  • échec aux épreuves de validation,

  • maternité,

  • maladie,

  • arrêt de travail.

Quelles aides ?

Le contrat de professionnalisation bénéficie de plusieurs systèmes d’aides variables selon l’âge du signataire.

Depuis le 1er janvier 2008, l’embauche d’un salarié de plus de 45 ans ouvre droit à une exonération des cotisations patronales de sécurité sociale et d’allocations familiales. Pour les autres contrats, l’exonération des charges de droit commun (loi Fillon) s’applique. D’autre part, les compléments de frais annexes, de coûts pédagogiques, les rémunérations et les charges sociales sont imputables sur le budget formation pour les entreprises de 10 salariés et plus.

Le gouvernement maintient l’aide au recrutement d’un alternant en 2024 (6 000€ maximum sur 1 année de contrat).
 

L’AGEFIPH (Fonds pour l’insertion professionnelle des travailleurs handicapés) peut également octroyer des aides particulières pour l’embauche de travailleurs handicapés.

Si la formation visée entre dans les accords de branche de l’entreprise, l’OPCO de référence peut accorder une prise en charge des frais de formation, d’évaluation et d’accompagnement du titulaire du contrat. Son montant est fixé par accord collectif (ou, à défaut, sur la base de 9.15 euros/heurs).

La formule scolaire

Quel public ?

La formule scolaire s’adresse à tout public.

Quelles démarches ?

Une demande de formation en formule scolaire s’effectue  par une demande d’inscription à l’école ou par internet via la section « Inscription » où vous trouverez un dossier à compléter et à nous renvoyer.

Quel coût ?

Vous trouverez sur notre site internet via l’onglet « inscription » le montant des frais de scolarité pour les différentes promotions référencées par l’école à la page 3 du document d’inscription.

La convention de stage alterné

L’école EPSILON propose le stage alterné. C’est un dispositif de la formation initiale visant l’obtention d’un titre ou d’un diplôme. Il permet d’allier formation théorique et périodes en entreprise, selon un calendrier fixé par l’organisme de formation. Affranchi des organismes extérieurs (OPCA, Régions…), le stage alterné se veut plus souple en termes d’organisation et de financement. Il est également accessible à tout type d’entreprises (statut, taille, secteur d’activité indifférents).

Quel public ?

Le stage alterné est ouvert aux étudiants inscrits dans un établissement de l’enseignement supérieur proposant cette formule.

Quelles démarches ?

Quel contrat ?

Créé par les établissements de formation pour répondre à la demande des entreprises, le stage alterné rassemble en un seul contrat la souplesse du stage et l’aspect alternant du contrat d’apprentissage ou de professionnalisation.

A l’instar du stage classique, l’accord est conclu par le biais d’une convention tripartite école-entreprise-stagiaire.

De fait, et conformément à la législation en vigueur, le stagiaire en alternance conserve son statut étudiant et reste sous la responsabilité de l’école.

Il n’entre pas dans les effectifs de l’entreprise et n’est donc pas un salarié. En aucun cas, il ne peut remplacer un collaborateur pour cause d’absence, de suspension de contrat de travail ou de licenciement.

La convention de stage alterné ne doit pas non plus être conclue pour exécuter une tâche régulière correspondant à un poste de travail permanent, ni pour faire face à un accroissement d’activité ou pour occuper un emploi saisonnier.

La durée de la convention dépend de la formation dispensée : entre 6 mois, et un an dans la plupart des cas. Dans le cadre d’un cursus de formation étalé sur plusieurs années, la convention peut être renouvelée aussi souvent que nécessaire, sauf mention contraire précisée par l’école.

La convention tripartie du stage alterné est signée par l’entreprise, le stagiaire puis l’école.

A l’image de la convention type de stage élaborée en 2006, elle doit comporter onze clauses spécifiques : activités confiées au stagiaire, dates et durées de présence, gratification et avantages, régime de protection sociale et protection en cas d’accident du travail, modalités de suspension et de résiliation du stage…(liste exhaustive et exemple de convention sur www.ecoles-entreprises.com).

D’autre part, toute convention signée doit se voir annexée d’un exemplaire de la Charte des stages étudiants en entreprises du 26 avril 2006, du décret n° 2006-757 du 29 juin 2006 portant application de l’article 10 de la loi n° 2006-396 du 31 mars 2006 pour l’égalité des chances, du décret n°2006-1093 du 29 août 2006 pris pour l’application de l’article 9 de la loi n°2006-396 du 31 mars 2006 pour l’égalité des chances (décret relatif à la convention-type), et, le cas échéant, du règlement intérieur de l’entreprise.

Dans le cas d’un stage obligatoire réalisé en vue de l’obtention d’un diplôme, les modalités de contrôle de connaissance attachées au diplôme concerné doivent également être ajoutées.

Les entreprises doivent enfin tenir à jour la liste des conventions qu’elles ont signées.

Aucune autre formalité administrative, notamment de déclaration aux organismes consulaires, n’est requise.

Quelles qualifications ?

Quel tuteur ?

Tous les niveaux d’études de l’enseignement supérieur sont disponibles du bac au bac+5/6. Ainsi, la formule du stage alterné a d’ors et déjà été adoptée par des universités, des écoles de commerce, de management, d’ingénieurs ou des formations spécialisées … et le nombre d’offres va croissant chaque année.

Chaque stagiaire est encadré par un tuteur. Désigné parmi les effectifs de l’entreprise, ce dernier est chargé d’accueillir le jeune et d’assurer sa bonne intégration.

Pour ce faire, le tuteur, conformément à la Chartre des stages de 2006, doit l’informer sur les codes et la culture de l’entreprise, l’aider dans l’acquisition des compétences nécessaires, suivre les travaux effectués, et le conseiller le cas échéant.

Enfin, le tuteur remplit la fiche d’évaluation du stage en décrivant les missions effectuées.

Accessibilité PMR et PAM

PMR

École de la Roche Sur Yon : pas d’accès PMR – Demande de dérogation en cours.

PAM

Supports de cours adaptés (modification de la police en fonction du handicap).

Autres possibilités en fonction du handicap. 

Nos enseignants, nos formateurs et nos référents

 Maths, Physique et Biologie  : BARRANGER Sylvain                                       CAP Bio-cosméto et technologie, Soins, Maquillage, PSE : CAILLET Nathalie   Gestion, Management : POIRIER Karine                                                           Coiffure CAP, BP : MORNE Carine                                                                         Physique Chimie : CARLOTTI-DEBARRE Caroline                                        Coiffure CAP  : GUIGNET Margaux                                                                             Dessin : PENARD Angélique                                                                                 CAP Esthétique : RAPAUD Céline                                                                                       EPS : SOULARD Alix                                                                                             Bio-cosméto Pratique : ORSONNEAU Elodie                                                                       Anglais, Histoire – Géographie : ARAGON Roxane                                            Français : MASSE Chantal                                                                                         Espagnol : VALIENTE GARCIA Célia      

 Référente entreprises partenaires : FAILLER Corinne                                     Référente administratif : GUENOUN Mayline                                                       Référente qualité : FAILLER Corinne                                                                Référente Mobilité nationale et international : GUENOUN Mayline                     Référente Handicap : FAILLER Corinne